C’est en septembre 2017 que Juliette Babelot, directrice artistique à Paris, décide de réinventer la capuche de pluie.
Elle s’inspire alors de la capuche amovible bien pratique toujours pliée et rangée dans le sac de sa grand-mère Gisèle qui elle ne se préoccupe plus de la pluie depuis bien longtemps.
Capuche à Mémé naît.
Le prérequis de départ est une démarche responsable et local, valeur importante pour la créatrice.
Les capuches sont 100% fabriquées en France en partie dans une ESAT où travaillent des personnes en situation de handicap. Aussi, une majorité des capuches sont fabriquées avec des tissus recyclés.
Juliette innove en faisant revêtir à ses capuches des motifs comme le wax ou des tissus réfléchissants conférant à ses clientes l’élégance de Jackie Kennedy, Audrey Hepburn ou encore Anya Taylor Joy dans la série The Queen’s Gambit.
Le produit est tout de suite bien reçu par le public : il amuse et touche par son nom, sauve et dépanne par sa fonctionnalité et surprend par son esthétisme innovant.
Trois ans plus tard, la marque a développé 8 collections, elle est suivie de près par la presse et l’influence, Juliette a participé d’ailleurs à l’émission “Qui veut être mon associé” sur M6. Les capuches sont vendues sur le site de la marque mais également via un réseau de revendeurs à l’international. Dans la capitale française, on peut les trouver, entre autres, à la Samaritaine, au Bon Marché Rive Gauche, à La Fondation Louis Vuitton ou aux Galeries Lafayette.
Tel un véritable effet de mode, c’est ainsi que ces jolies capuches anti-pluie s’invitent de plus en plus dans le sac à main des femmes, comme un symbole de liberté et d’optimisme, puisque l’on est contente, quand le temps tourne, de pouvoir rapidement et facilement enfiler sa jolie capuche !
Capuche Paris sort ses capes de pluie et continue son ascension !
Merci !